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Test Mova V50 Ultra Complete : l’aspirateur robot qui défie la gravité

Imaginez un robot capable de grimper des marches de 6 cm, de se faufiler sous vos meubles les plus bas et de pulvériser les poils d’animaux sans jamais s’y emmêler. Ajoutez à cela une puissance d’aspiration titanesque de 24 000 Pa (soit 20 % de plus que le Saros 10 de Roborock), un système de lavage à eau chaude avec deux solutions de nettoyage distinctes, et vous commencez à comprendre pourquoi le V50 Ultra Complete mérite toute notre attention. Et la mienne, moi qui reste habituellement sceptique face à ce type de produit, mais qui avais déjà été séduit par son petit frère.

Cette version « Complete » enrichit la formule gagnante du V50 Ultra standard avec une panoplie d’accessoires supplémentaires et des fonctionnalités exclusives, comme le système DuoSolution pensé pour neutraliser les odeurs d’animaux. Face à ses rivaux directs vendus au même prix, l’X8 Pro d’Ecovacs ou le Saros 10R de Roborock, le V50 Ultra Complete n’a franchement rien à envier. Bien au contraire : il en offre souvent plus, pour le même tarif.

Sur le papier, ce robot semble presque trop beau pour être vrai. Mais dans la vie de tous les jours ? Ces technologies relèvent-elles du simple discours marketing ou d’une véritable révolution domestique ? Franchissement de seuils, nettoyage sous les meubles, élimination des poils… nous avons mis le V50 Ultra Complete à l’épreuve pendant plusieurs semaines pour voir s’il tenait vraiment ses promesses ambitieuses.

Design, entretien et innovations

Le Mova V50 Ultra Complete perpétue la philosophie esthétique et fonctionnelle de son petit frère, le P50 Pro Ultra, tout en poussant encore plus loin l’innovation technique. À première vue, on reconnaît immédiatement la patte Mova : des lignes épurées, une construction robuste, et cette impression qu’on a affaire à un appareil sérieusement pensé plutôt qu’à un simple gadget.

Avec un diamètre de 35 cm et une hauteur maximale de 11,1 cm (radar déployé), ce mastodonte technologique impose sa présence dans l’espace domestique. Heureusement, grâce au système FlexiRise, le robot peut rétracter son capteur LiDAR pour descendre à 8,9 cm, ce qui lui permet de passer sous des meubles inaccessibles à la plupart des concurrents, une prouesse remarquable vu sa densité technologique.

Test Mova V50 Ultra Complete : l’aspirateur robot qui défie la gravité

Son poids de 4,6 kg, supérieur à la moyenne, s’explique par l’intégration de composants avancés comme le système StepMaster, qui lui permet de franchir des seuils, une fonctionnalité absente de son prédécesseur. Contrairement au P50 Pro Ultra qui peinait face aux petites marches, le V50 est capable, théoriquement, d’escalader des obstacles de 4 cm, voire 6 cm en double palier. Je dis bien « théoriquement », car comme on le verra plus loin, cette promesse s’est montrée un peu capricieuse sur le terrain.

Quant à la station d’accueil, elle est tout sauf discrète. Avec ses dimensions de 42 x 46 x 47 cm pour 9,5 kg, impossible de la cacher. Mais là encore, Mova joue la carte du design assumé : ses lignes sobres et élégantes lui permettent de s’intégrer sans fausse note dans un intérieur contemporain. Ce n’est pas juste un socle, c’est une vraie base multifonctions.

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Elle embarque un sac à poussière géant de 3,2 L (comme le P50), un réservoir d’eau propre de 4 L et un bac d’eau sale de 3,5 L, ce qui offre une belle autonomie entre deux entretiens. Mais la nouveauté marquante de cette version Complete, c’est le système DuoSolution. Là où le P50 ne proposait qu’un compartiment pour le produit nettoyant, le V50 Ultra Complete en offre deux : 400 ml pour un nettoyant universel et 200 ml pour un liquide désodorisant ciblant les odeurs d’animaux. Une vraie bonne idée pour les foyers avec compagnons à quatre pattes.

Autre amélioration bienvenue : le réservoir d’eau propre intègre désormais des billes anti-tartre, avec un remplacement prévu tous les deux ans seulement. Un petit détail, mais qui montre que Mova a bien réfléchi à la durabilité de son produit.

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Côté mobilité, le robot s’appuie sur une roue omnidirectionnelle et deux grosses roues motrices, complétées par une roulette arrière. L’architecture est proche de celle du P50, mais j’ai noté une certaine rigidité dans les roues principales, qui rendent les mouvements un peu brusques sur certaines surfaces, un défaut que je n’avais pas relevé sur le modèle précédent.

L’innovation phare reste sans conteste les « pattes de franchissement » du StepMaster, capables de soulever l’avant du robot pour lui permettre d’escalader de petits obstacles. Ce système corrige l’une des limites majeures du P50 Pro Ultra, cantonné aux surfaces planes. Sur le papier, c’est une petite révolution qui autorise le nettoyage sur plusieurs niveaux sans intervention humaine.

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En matière de brosserie, on retrouve l’héritage du P50 : deux serpillières rotatives amovibles et une brossette latérale. Le système d’attache magnétique, déjà très pratique sur le P50, est toujours là, un simple geste suffit pour installer les patins, renforcés par du Velcro pour une tenue parfaite.

Mais là où le V50 va plus loin, c’est avec le bras extensible de la serpillière droite, qui s’allonge pour atteindre les plinthes jusqu’à 4 cm. La brossette latérale est également désaxable, ce qui permet d’aspirer au plus près des murs et dans les angles. Deux vraies réponses aux limites qu’on avait pointées sur le modèle précédent.

Les serpillières bénéficient désormais d’un jeu vertical de 2 mm vers le haut et 1 mm vers le bas, avec une flexibilité de 5°, ce qui leur permet de mieux épouser les irrégularités du sol. Comme sur le P50, le rouleau-brosse principal reste à double hélice pour limiter les enchevêtrements, la version améliorée du système Clean Chop se montre très efficace face aux poils, sauf lorsqu’ils sont vraiment en amas compacts.

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En version Complete, le V50 se distingue aussi par la richesse de ses accessoires fournis : flacon de nettoyant d’1 L (contre 200 ml sur le P50), solution anti-odeurs de 200 ml, 3 sacs à poussière supplémentaires, 12 patins, une brosse principale de rechange, 3 filtres, 2 brossettes latérales en plus… Rien à dire, c’est généreux et ça justifie clairement l’appellation « Complete ».

L’entretien, lui, reprend les bons principes du P50 mais les pousse encore plus loin. Les serpillières se remplissent et se lavent automatiquement à la base, mais cette fois avec de l’eau chauffée à 80 °C (contre 75 °C avant), et la dose de détergent est toujours automatique. L’astuce en plus : un capteur de saleté déclenche un second cycle de nettoyage si nécessaire, une fonction qui manquait vraiment sur le modèle précédent.

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Le cycle complet dure 2 min 30, suivi de 3 heures de séchage à air chaud. Résultat : des patins toujours propres et secs. Le nouveau système JetSpray Dryboard améliore nettement le taux de désinfection par rapport au P50.

Autre nouveauté bien vue : le système OmniDry sèche aussi le bac à poussière et le sac, limitant la formation d’odeurs. Ce n’était pas un problème flagrant sur le P50, mais si c’est là, tant mieux.

En résumé, si le P50 posait déjà des bases solides, le V50 Ultra Complete affine la formule avec des améliorations ciblées, intelligentes et concrètes. On n’est pas dans l’itération gadget, mais dans une vraie montée en gamme.

Fonctionnalités

Dès le déballage, le V50 Ultra Complete impressionne. Sa simplicité apparente masque en réalité un concentré technologique qui dépasse largement son prédécesseur et rivalise sans complexe avec les ténors du segment premium comme Roborock ou Ecovacs.

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Sur le dessus, on retrouve les deux boutons classiques chez Mova, cerclés d’un anneau lumineux multicolore qui renseigne efficacement sur l’état du robot. Sous le capot, un petit orifice permet la réinitialisation manuelle, un détail qui a son importance, notamment lors d’une coupure de Wi-Fi surprise.

L’appairage avec l’application MOVAhome s’est fait sans accroc. Un progrès notable par rapport au P50, qui avait donné quelques sueurs froides à ce stade. L’interface reste proche, mais le V50 apporte son lot de nouveautés bien pensées.

La plus impressionnante ? Son système d’évitement d’obstacles dopé à l’intelligence artificielle. Là où la concurrence reconnaît une cinquantaine de types d’objets, le V50 grimpe à plus de 200. Le résultat est bluffant : il a reconnu sans faillir les jouets de mon neveu éparpillés dans le salon, avec une précision chirurgicale. Le test de la chaussette et du câble ? Une simple formalité.

La gestion des zones de nettoyage gagne aussi en finesse. Comme chez ses concurrents, on peut adapter l’aspiration et le débit d’eau pièce par pièce. Mais Mova pousse le curseur plus loin, avec 32 niveaux d’humidité réglables (contre 3 à 5 ailleurs). Est-ce utile ? Peut-être pas toujours. Mais qui peut le plus peut le moins.

Le système StepMaster, lui, marque une vraie rupture. Alors que le Saros 10 plafonne à 4 cm et l’X8 Pro à 2 cm, le V50 Ultra est théoriquement capable de franchir jusqu’à 6 cm en deux temps. En pratique, les résultats sont inégaux, mais aucun autre modèle ne va aussi haut dans cette gamme de prix.

Autre point fort : la navigation FlexiRise. Grâce à son LiDAR rétractable, le robot atteint une hauteur minimale de 8,9 cm, contre 10,38 cm pour le P50 et à peine plus que les 7,9 cm du Roborock Saros 10. Combiné à ses pattes de franchissement, cela fait du V50 l’un des robots les plus agiles en environnement encombré.

Navigation sous meubles bas : LiDAR rétractable

C’est un petit détail, mais il change tout. Le LiDAR rétractable du V50 s’abaisse automatiquement à l’approche de meubles bas. Là où d’autres aspirateurs restent bloqués, lui bascule sur sa caméra secondaire et ses capteurs de proximité pour se glisser là où peu peuvent aller. Je l’ai vu sans peine se faufiler sous une commode à 10 cm du sol, là où mon ancien robot restait impuissant. Une prouesse technologique, déployée avec une élégance presque invisible.

La caméra embarquée, elle aussi revue à la hausse, offre une image bien plus nette qu’auparavant. Elle ne sert pas seulement à éviter les obstacles, mais permet aussi de surveiller à distance et même de communiquer avec vos animaux. Le micro reste perfectible, le son est un peu métallique, mais l’option est là.

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L’assistant vocal intégré gère désormais 40 commandes, même hors ligne. C’est rare. Et côté domotique, le V50 est compatible avec Google Home, Alexa et Siri. Un peu moins fluide que les appareils conçus pour Matter, certes, mais fonctionnel.

La cartographie, enfin, peut gérer jusqu’à 4 étages, avec une précision accrue. Là où le P50 perdait parfois ses repères après une mise à jour, le V50 conserve ses cartes, y compris les murs virtuels, les zones interdites et les réglages pièce par pièce.

Fonctions spéciales pour les foyers avec animaux

Le V50 Ultra Complete pourrait presque s’appeler « Pet Edition », tant il a été pensé pour les propriétaires d’animaux. Son système anti-poils est redoutablement efficace, mais ce n’est que le début.

Le mode « Pet Care » est bluffant. Le robot apprend à repérer les zones fréquemment occupées par votre compagnon, dans mon cas, Ella, ma chienne, et adapte son comportement de nettoyage. Mieux encore : grâce au DuoSolution, il diffuse automatiquement une solution désodorisante sur ces zones. Fini les odeurs résiduelles après le passage de l’aspirateur !

Et ce n’est pas tout. Grâce à la caméra embarquée, on peut surveiller son animal à distance, lui parler, et même envoyer le robot « chercher » le chien. Une fois repéré, il vous le signale dans l’application. C’est un gadget ? Peut-être. Mais c’est franchement génial.

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Le processeur embarqué, 30 % plus puissant que celui du P50, rend l’ensemble encore plus réactif : la cartographie est fluide, l’analyse des obstacles se fait quasiment en temps réel.

Alors oui, il reste quelques limites. Les tapis très fins peuvent parfois dérouter ses capteurs, et le franchissement de seuils nécessite encore un peu de paramétrage manuel. Mais à ce niveau de prix, le V50 Ultra Complete propose tout simplement l’arsenal de fonctionnalités le plus riche du marché. Et même certains modèles vendus 200 € plus cher ne vont pas aussi loin.

Performances

Après plusieurs semaines de cohabitation avec le V50 Ultra Complete, une chose est claire : ses performances surpassent largement celles de son prédécesseur. Premier constat bluffant : la cartographie complète d’un étage de 35 m² s’effectue en 1 minute et 22 secondes. Une vitesse impressionnante, digne des modèles les plus haut de gamme.

Sa navigation quotidienne n’est pas exempte de défauts : les roues principales, assez massives et rigides, occasionnent parfois des mouvements brusques, et un bruit un peu sec sur carrelage. Malgré ça, le robot suit un trajet cohérent, structuré, qui couvre bien la surface.

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Pour pousser le test, j’ai transformé mon salon en véritable champ de bataille : chaussettes abandonnées, câbles serpentant sous la table, jouets oubliés. Résultat ? Le V50 a tout reconnu, tout évité, et même pris en photo dans l’application. Là où mon ancien modèle transformait systématiquement mes câbles en spaghettis, celui-ci les contourne avec une aisance qui force le respect.

Le fameux StepMaster m’a laissé, lui, plus mitigé. J’ai voulu le piéger avec un test maison : un socle de table basse, rond, surélevé de 6 cm. Lors de la cartographie initiale, le robot n’a pas tenté de l’escalader et s’est contenté d’en faire le tour. J’ai donc dû intervenir manuellement dans l’appli pour l’autoriser à franchir cet obstacle. Et là, magie : pattes déployées, montée nette, contournement précis de la base, puis redescente fluide. Une belle performance… mais qui demande un coup de pouce. Ce niveau de franchissement, pourtant mis en avant, mériterait d’être activé de façon plus intuitive ou automatisée.

Mais c’est côté aspiration que le V50 se surpasse. Ses 24 000 Pa, contre 19 000 Pa pour le P50 Pro Ultra, mettent une vraie claque à la concurrence. Il surpasse l’Ecovacs X8 Pro (18 000 Pa) et même le Roborock Saros 10 (22 000 Pa). Concrètement, cela donne 94 % du sel aspiré sur sol dur, un score quasi parfait sur les poils et cheveux. Même sur tapis, il s’en sort admirablement avec 99 % des poils aspirés. Seuls les grains de sel bien incrustés lui résistent encore un peu.

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Mention spéciale pour le système anti-enchevêtrement, qui mérite une standing ovation. Ella, ma fidèle épagneul bretonne, m’a habitué aux tapis hérissés de poils et aux brosses bloquées à chaque passage. Le V50, lui, reste imperturbable. Même dans les coins les plus poilus du salon, les doubles rouleaux restent propres. Ce n’est qu’avec de véritables amas, ceux qu’on obtient après un bon brossage, que quelques poils finissent coincés. Mais dans l’ensemble, c’est un véritable soulagement. Je n’avais jamais vu un robot aussi bien gérer le cauchemar capillaire des animaux.

Autre révélation : le mode Genius. Là où le P50 se contentait d’augmenter la puissance sur les zones sales, le V50 adopte une logique presque intelligente. Lors d’une concentration impressionnante de poils, j’ai vu le robot relever ses serpillières (même si ce n’était pas un tapis), effectuer plusieurs passages ciblés en aspiration pure, puis abaisser de nouveau ses patins pour un lavage final. Le tout sans que je n’aie rien à faire. Ce type de séquence, fluide et adaptée au contexte, donne une vraie impression de réactivité intelligente.

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Côté lavage, le bilan est globalement bon. Les traces de pas séchées disparaissent souvent au premier passage, parfois au second pour les plus tenaces. Le café séché, lui, résiste un peu plus : jusqu’à quatre passages peuvent être nécessaires pour en venir à bout.

Les tapis, eux, ne posent aucun problème : le robot les détecte, relève automatiquement ses serpillières et augmente la puissance d’aspiration. C’est fluide, sans accroc.

Lavage à eau chaude : promesse tiède

Un mot, tout de même, sur le fameux lavage à 45 °C. Sur le papier, l’idée est séduisante : dissoudre plus efficacement les graisses, améliorer le décrassage… En pratique ? C’est tiède, dans tous les sens du terme. Malgré plusieurs essais, y compris un test à demi-surface sur une tache de graisse, je n’ai pas constaté de différence notable par rapport à un lavage à température ambiante. Dommage, d’autant que le robot chauffe bien l’eau à 80 °C pour le nettoyage des serpillières — preuve que la technologie est là. Il ne manque sans doute que quelques degrés pour que la promesse tienne.

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Niveau sonore maîtrisé

Dernier point : le bruit. Sur ce terrain, le V50 se montre très civilisé :

  • Mode silencieux : 54 dB (équivalent à une conversation posée)
  • Mode standard : 56 dB (moins qu’un lave-vaisselle)
  • Mode turbo : 59 dB (niveau d’un climatiseur)
  • Mode max : 64 dB (une conversation animée)
  • Mode max+ : 69 dB (un aspirateur classique à distance)

La vidange automatique, elle, culmine à 67 dB, un progrès notable par rapport aux 74 dB tonitruants du P50. Le nettoyage, lui, reste entre 40 et 63 dB, et le séchage est quasi inaudible. Parfait pour un passage de nuit ou pendant une visio.

Autonomie

Côté endurance, le V50 Ultra Complete livre des performances honorables… sans être révolutionnaires. Sa batterie de 6400 mAh lui offre environ 1 h 40 d’autonomie en usage standard, soit une couverture réelle de 120 à 140 m² selon la configuration du logement.

Dans les faits, les obstacles ou les sols compliqués réduisent un peu cette autonomie. Mais la fonction de recharge intelligente vient compenser : dès que la batterie flanche, le robot retourne à sa base, se recharge, puis reprend exactement là où il s’était arrêté. Pas besoin de relancer manuellement une session ou de reconfigurer quoi que ce soit.

Dans mon appartement, cette autonomie est largement suffisante pour un cycle complet. Pour les grandes maisons, il faudra composer avec des pauses recharge, mais c’est un compromis raisonnable au vu de la puissance délivrée et de la compacité de l’ensemble. On aurait pu espérer mieux, mais dans la pratique, ce n’est pas un point bloquant.

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Auteur : Damien

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Artia13

Bonjour ! Je m'appelle Cédric, auteur et éditeur basé à Arles. J'écris et publie des ouvrages sur la désinformation, la sécurité numérique et les enjeux sociétaux, mais aussi des romans d'aventure qui invitent à l'évasion et à la réflexion. Mon objectif : informer, captiver et éveiller les consciences à travers mes écrits.

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